Les littératures de l'imaginaire et le poche

Les littératures de l'imaginaire constituent 7% des parts de marché de l'édition de fiction. Un genre qui souffre de marginalisation, dans  les librairies comme dans l'esprit de nombre de gens le considérant comme un sous-genre pas sérieux. Comment les éditeurs défendent-ils ces ouvrages ? Quel relais la blogosphère apporte-t-elle à la diffusion des littératures de l'imaginaire ? Les auteurs français parviennent-ils à se créer une place dans un marché longtemps dominé par les Anglo-Saxons ? Quel parallèle peut-on faire avec la réception des œuvres cinématographiques de SF, Fantasy et terreur, notamment avec le développement des séries TV ?