(Grands entretiens)
le de 16h30 à 17h30 - Café littéraire
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La romancière canadienne Emily St John Mandel a su varier les registres avec des oeuvres mêlant récits policiers (Dernière nuit à Montréal), quête de paternité (Les Variations Sebastian), ou plus récemment roman post-apocalyptique (Station Eleven). Ce dernier titre présente un monde où la civilisation s'est effondrée suite à une pandémie. Une troupe itinérante parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l'espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven aux survivants. Ceux qui ont connu l'ancien monde l'évoquent avec nostalgie, alors que la nouvelle génération peine à se le représenter. De l'humanité ne subsistent plus que l'art et le souvenir. Peut-être l'essentiel...